Portrait de Pierre-Louis Rey, ambassadeur NOSC

Pierre-Louis, 24 ans, originaire de l’Ain, a suivi des études d’Écologie à Chambéry, actuellement en doctorat à Lausanne (Suisse), il investit le champ de la recherche pour la protection des éco-systèmes. En plus de cela, le chercheur est très actif et polyvalent se traduisant par une pratique pléthorique et assidue d’activités physiques : sports d’hiver de montagne, escalade en salle puis en extérieur à l’arrivée des beaux jours, le running, les disciplines en eau vive, le vélo… la liste est longue. Pierre-Louis pratique également la photographie au détour de toutes ses excursions en plein air. 

Dernièrement, il a pu devenir ambassadeur de la start-up NOSC par la force de son réseau. Aussi la marque a trouvé pertinent de compter parmi ses représentants, un élément comme Pierre-Louis qui ne se trouve pas être un sportif professionnel mais bien un chercheur en Écologie, pratiquant des activités d’intérieur et d’extérieur pour le plaisir, de façon quotidienne.

Dès lors, ce passionné d’Outdoor a eu l’opportunité d’entamer un dialogue avec la marque pour à la fois la représenter au travers des photographies, posts Instagram et diverses manifestations sportives mais aussi en testant véritablement les produits afin de participer à leur amélioration, « ce qui est intéressant avec NOSC, c’est avant tout l’écoute, on sait que notre point de vue va être pris en compte, les relations sont horizontales. Également, malgré le fait que je ne sois pas un athlète, on me prend au sérieux dans ma pratique ». 

De la même manière, la conscience écologique que cultive NOSC séduit Pierre-Louis. En effet, le chercheur est engagé pour l’environnement, il agit tous les jours pour mieux consommer en réduisant les emballages, en mangeant bio et local, « je ne prends plus de noix exotiques ou de thé car le bilan carbone du trajet pour les faire importer, est beaucoup trop important ». Ses déplacements se font au maximum à vélo lorsque cela est possible, sinon en empruntant les transports en commun et en dernier recours, en auto.

Enfin, Pierre-Louis limite sa consommation en ayant un point de vue minimaliste sur ses achats, « le principal problème reste la surconsommation, si on essaye d’acheter vraiment ce dont on a besoin et de retrouver la culture du faire, on évite une grande partie des difficultés rencontrées aujourd’hui ». 

Si les aventures de Pierre-Louis vous intéressent, vous pouvez le suivre sur les réseaux sociaux et même échanger avec lui !! @plrey